Nous nous imaginons que nous comprendrons lorsque nous aurons encore plus d'informations, plus de livres, plus de faits. Seulement, un esprit encombré de faits et connaissances, est-il susceptible de recevoir quoi que ce soit de neuf, de soudain, de spontané ? Entendu que la totalité de la Vie n’est pas le « connu », est-ce que le « connu » peut permettre d’accéder à « l’inconnu » ?

Quelle discipline pour nos enfants face aux publications des infractions dans tous les domaines des médias ?
La plupart pense que nous devons dominer la brute en nous par des disciplines, à savoir des actions répétées et un modèle de conduite qui nous donneront ce que nous désirons. Seulement, c’est le Moi qui est à discipliner ; un Moi agressif, égoïste, craintif, ambitieux, hypocrite, jouisseur, ignorant, avide, etc. Détruit-on la brute par une discipline ou par une compréhension intelligente ? Nous pouvons contraindre un enfant, le mettre en pénitence et le faire tenir tranquille ; mais intérieurement il peut valablement être en ébullition, ne pensant qu'au moyen de s'enfuir. Ce qui est subjugué reste à subjuguer.

Nous avons des idées, un idéal, des formules, pour ce que nous sommes, comme pour ce que nous ne sommes pas. Le fondement de notre action c’est soit la poursuite d’une récompense future, soit la fuite d’un risque de châtiment. Alors, il existe un hiatus entre Ce Que Nous Sommes et Ce Que Nous Devrions Être (idéal), de sorte que Vivre consiste à jeter un pont entre les deux. Qu’arriverait-il si l’idéal n’existait pas ? Nous serions authentiquement ce que nous sommes en totalité : « Tu connaîtras la Vérité, et la Vérité te rendra libre. »

Nous avons des idées, un idéal, des formules, pour ce que nous sommes, comme pour ce que nous ne sommes pas. Le fondement de notre action c’est soit la poursuite d’une récompense future, soit la fuite d’un risque de châtiment. Alors, il existe un hiatus entre Ce Que Nous Sommes et Ce Que Nous Devrions Être (idéal), de sorte que Vivre consiste à jeter un pont entre les deux. Qu’arriverait-il si l’idéal n’existait pas ? Nous serions authentiquement ce que nous sommes en totalité : « Tu connaîtras la Vérité, et la Vérité te rendra libre. »

L’enjeu : examiner le problème sans son opposé. C'est très difficile parce que nous dépendons tellement de nos sensations que nos vies sont fondamentalement contradictoires. Nous dépendons de souvenirs et d'opinions, nous avons mille craintes que nous voulons ensevelir ; tout cela crée en nous un état de contradiction. Nous voulons la paix et tout ce que nous faisons engendre la guerre, non seulement en famille mais au-dehors. Au lieu de comprendre la cause du conflit, nous essayons de plus en plus d'être une chose ou son contraire, accentuant ainsi l'opposition.

L’enjeu : examiner le problème sans son opposé. C'est très difficile parce que nous dépendons tellement de nos sensations que nos vies sont fondamentalement contradictoires. Nous dépendons de souvenirs et d'opinions, nous avons mille craintes que nous voulons ensevelir ; tout cela crée en nous un état de contradiction. Nous voulons la paix et tout ce que nous faisons engendre la guerre, non seulement en famille mais au-dehors. Au lieu de comprendre la cause du conflit, nous essayons de plus en plus d'être une chose ou son contraire, accentuant ainsi l'opposition.

L’enjeu : examiner le problème sans son opposé. C'est très difficile parce que nous dépendons tellement de nos sensations que nos vies sont fondamentalement contradictoires. Nous dépendons de souvenirs et d'opinions, nous avons mille craintes que nous voulons ensevelir ; tout cela crée en nous un état de contradiction. Nous voulons la paix et tout ce que nous faisons engendre la guerre, non seulement en famille mais au-dehors. Au lieu de comprendre la cause du conflit, nous essayons de plus en plus d'être une chose ou son contraire, accentuant ainsi l'opposition.